Déficit immunitaire primaire (DIP) : quels sont les traitements disponibles ?

Annoncer un déficit immunitaire primaire, ou DIP, résonne souvent comme un coup de tonnerre pour les patients et leur entourage. Un DIP a-t-il été récemment diagnostiqué chez vous, ou l’un de vos proches ? Dans ce cas, vous vous posez probablement de nombreuses questions sur les causes et les symptômes de la maladie, les traitements disponibles ainsi que les avantages et inconvénients de ces traitements. Ce site vous apporte toutes les réponses, dans un langage compréhensible.

Qu’est-ce que le DIP ?

Qu’est-ce que le DIP ?

Le déficit immunitaire primaire signifie que votre système immunitaire ne fonctionne pas correctement. Votre corps ne fabrique pas, ou pas suffisamment, d’anticorps, ou ceux-ci sont défaillants. Vous courez donc un risque plus élevé de développer des infections. Dans certains cas, les personnes atteintes de DIP sont également davantage sujettes aux maladies auto-immunes et aux allergies.

Comment peut-on traiter le DIP ?

Comment peut-on traiter le DIP ?

Pour pallier la défaillance de leur système immunitaire, la plupart des patients atteints de DIP reçoivent un traitement de substituion : des anticorps supplémentaires, appelés immunoglobulines. Celles-ci existent sous forme intraveineuse (IgIV) ou sous-cutanée (IgSC). D’autres traitements peuvent parfois être nécessaires, comme la greffe de cellules souches ou les antibiothérapies.

Test : êtes-vous éligible pour le traitement IgSC ?

En tant que patient DIP, pourriez-vous recevoir des immunoglobulines par voie sous-cutanée, c'est-à-dire sous la peau ? Faites-le test ici afin de préparer votre prochain rendez-vous chez votre médecin.

Interviews

Interviews

Le monde médical étant en constante évolution, grâce aux entretiens avec des experts médicaux reconnus dans le domaine du déficit immunitaire primaire, vous pourrez en savoir plus sur l'évolution de la maladie et de ses traitements.

Questions souvent posées sur le DIP et ses traitements

Le diagnostic du DIP soulève souvent de nombreuses questions. Le professeur Rik Schrijvers et le docteur Catherine Heijmans y répondent dans nos questions-réponses.